Jean Joseph Pichard

Nous présentons nos sincères condoléances à Nicole ,ainsi qu'aux enfants' Jean fut réellement mon premier directeur d'agence sur qui je pouvais compter pour avancer dans ce métier de banquier. Acharné au travail,mais qui savait partager des bons moments autour de crêpes ou pâtisseries effectuées par Nicole avec toute l'équipe. Aujourd'hui, ce n'est plus possible de se poser un peu au travail! Les souvenirs restent heureusement. Bon repos Jean.

Chers Nicole, Pascaline, François et les enfants, Gilles et moi-même avons une pensée émue pour vous et vos proches en ces temps de grande tristesse. Nous n'oublions pas tous les moments passés avec Jean et Nicole autour d'un apéritif dînatoire avec les voisins du "haut du Hameau des Marches", d'un café ou encore toutes ces parties de tarot, les promenades avec Nicole et ces moments de discussions sur les parcours de vie de chacun, les souvenirs de vacances, les anecdotes... Combien de fois, Jean nous a aidés lorsque nous avions besoin de la présence d'une personne le matin pour que Florent ne soit pas seul en attendant le taxi alors que nous devions partir tôt au travail. Ou encore le "sauvetage mémorable" de Manuela, un matin enneigée de février... Nous regrettons de ne pouvoir être présents avec vous en ce lundi après-midi, qui, nous en sommes certains, sera chargé en émotions mais nos pensées vous accompagneront. Nous vous adressons nos sincères condoléances ainsi qu'à vos proches. Cordialement Maryse et Gilles

Parmi les fils qui composent l’étoffe de la grande histoire humaine, le tien détonnait Jean, nous nous sommes croisés puis éloignés. Le fil de ton existence aura été chatoyant, rouge, blanc, rosé comme les vins, dont tu connaissais les cépages sur le bout des doigts, et que tu aimais partager. Blanc aussi pour la droiture dont tu faisais preuve, banquier qui qui incitait parfois des emprunteurs à ne pas emprunter ! Un bel exemple d’humanisme . Fil souple aussi avec ses petits enfants. Papi d’une tendresse infinie, affectueux et attentionné. Fil aussi rugueux quelques fois, aux colères explosives Mais c’est la couleur qui dominait, celle de la générosité, de la joie de vivre et du partage. Fil d’une existence qui s’est arrêtée mercredi mais qui aura transmis ses couleurs à l’étoffe de l’histoire humaine. Pas d’Adieu Jean, pas pour toi, mes des souvenirs impérissables. Gaël